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Ferrari, Renault, Cevert… Les secrets automobiles de Brigitte Bardot
Auto Hebdo
28/12/2025
Brigitte Bardot, icône du cinéma français, s'est éteinte ce dimanche 28 décembre 2025 à 91 ans. L'actrice française n'était pas totalement étrangère à l'univers de l'automobile.
Un couple éphémère avec François Cevert.
Brigitte Bardot et François Cevert, deux incarnations de la beauté, ont formé un couple aussi hors-norme qu’éphémère lors de l’année 1971. Peu d’images existent de leur relation, si ce n’est une escapade lors du 2e Salon de la voiture de course et de la moto au Grand Palais de Paris en février 1971. Un événement qui n’a pas laissé un souvenir impérissable à BB, comme elle le raconte dans son livre. « Qu’allais-je faire dans cet endroit, moi qui ai horreur de tout ce bruit, de cette vitesse, de tous ces prototypes de Formule 1, 2, 3 ou 4, qui me cassent les pieds et les oreilles ? Il (Cevert) n’avait peut-être pas inventé le fil à couper le beurre mais qui s’en souciait ? Pas moi ! » La relation avec le pilote français au célèbre regard bleu ne dura pas beaucoup plus longtemps. « Sa présence me devint insupportable et je fis tout pour m’en débarrasser. L’amour ne se commandait pas et je ne l’aimais pas. Finalement, comme il ne comprenait pas, nous dûmes tous lui mener une vie infernale et il finit par partir. »
Une Ferrari à son nom.
La Ferrari 365 GT4 BB ne se contentait pas d’être une merveille mécanique : elle portait le nom d’une star. Lorsque Maranello lança le projet de l’héritière de la Daytona, impossible en apparence à réaliser, le défi était de créer une supercar à moteur central tout en conservant le charme des précédentes GT. Pininfarina releva le gant avec un prototype spectaculaire, au design audacieux et bicolore, qui captivait tous ceux qui le voyaient. L’admiration fut telle que l’équipe à Maranello baptisa affectueusement la voiture « Brigitte Bardot », BB, avant même sa présentation officielle au Salon de Turin en 1971.
Pour respecter la tradition des noms Ferrari, l’acronyme fut officiellement traduit en « Berlinetta Boxer », dissimulant ainsi cette référence amoureuse tout en ajoutant une touche poétique et technique : Berlinetta rappelant des GT classiques à moteur avant, et Boxer évoquant la configuration originale du moteur V12 à 180 degrés. La BB, comme l’actrice, fit tourner toutes les têtes, devenant une icône où design, performance et glamour se mêlent en parfaite harmonie.
Un couple éphémère avec François Cevert.
Brigitte Bardot et François Cevert, deux incarnations de la beauté, ont formé un couple aussi hors-norme qu’éphémère lors de l’année 1971. Peu d’images existent de leur relation, si ce n’est une escapade lors du 2e Salon de la voiture de course et de la moto au Grand Palais de Paris en février 1971. Un événement qui n’a pas laissé un souvenir impérissable à BB, comme elle le raconte dans son livre. « Qu’allais-je faire dans cet endroit, moi qui ai horreur de tout ce bruit, de cette vitesse, de tous ces prototypes de Formule 1, 2, 3 ou 4, qui me cassent les pieds et les oreilles ? Il (Cevert) n’avait peut-être pas inventé le fil à couper le beurre mais qui s’en souciait ? Pas moi ! » La relation avec le pilote français au célèbre regard bleu ne dura pas beaucoup plus longtemps. « Sa présence me devint insupportable et je fis tout pour m’en débarrasser. L’amour ne se commandait pas et je ne l’aimais pas. Finalement, comme il ne comprenait pas, nous dûmes tous lui mener une vie infernale et il finit par partir. »
Une Ferrari à son nom.
La Ferrari 365 GT4 BB ne se contentait pas d’être une merveille mécanique : elle portait le nom d’une star. Lorsque Maranello lança le projet de l’héritière de la Daytona, impossible en apparence à réaliser, le défi était de créer une supercar à moteur central tout en conservant le charme des précédentes GT. Pininfarina releva le gant avec un prototype spectaculaire, au design audacieux et bicolore, qui captivait tous ceux qui le voyaient. L’admiration fut telle que l’équipe à Maranello baptisa affectueusement la voiture « Brigitte Bardot », BB, avant même sa présentation officielle au Salon de Turin en 1971.
Pour respecter la tradition des noms Ferrari, l’acronyme fut officiellement traduit en « Berlinetta Boxer », dissimulant ainsi cette référence amoureuse tout en ajoutant une touche poétique et technique : Berlinetta rappelant des GT classiques à moteur avant, et Boxer évoquant la configuration originale du moteur V12 à 180 degrés. La BB, comme l’actrice, fit tourner toutes les têtes, devenant une icône où design, performance et glamour se mêlent en parfaite harmonie.
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